NOS 10 'VIEVX DV STADE'

1993 - 2007, 15 ans de 24 heures !


Jean-Jacques Deverly

NOS 10 'VIEVX DV STADE'
  • 12 934 kilomètres parcourus en 14 éditions

    «Mes meilleurs souvenirs… Il y en a deux. Forcément la première édition où, novice, je partageais le volant du second Range Rover officiel engagé par Land Rover France avec mon confrère Yvonnick Jambon et Henri Michel, le boss de Givenchy. Contre toute attente, nous nous sommes classés 15ème au général avec la furieuse envie de remettre ça ! Ensuite, il y a bien sûr la meilleure performance, à savoir une 7ème place scratch obtenue en 2005 avec le Fournier Team Toy sur un Rav4 T1B d’à peine 20 000 euros !
    Chaque édition est pour moi une fête, que l’on finisse dans les dix ou pas du tout ! La force de l’épreuve : par définition son caractère unique, son ambiance et son plateau qui mêle une multitude de concurrents issus de différents horizons, des pros comme des amateurs.
    Je définirais les 24 Heures 4x4 comme un moment magique pour qui aime le sport auto. Et qu’il faut vivre au moins une fois dans un baquet. Je serai sur la ligne départ de la 15ème édition, avec le FTT et de nouveau sur le Rav4.
    A bientôt, Jean-Jacques Deverly.»

Michel Salvatore

NOS 10 'VIEVX DV STADE'
  • vainqueur 2006
  • 10 776 kilomètres parcourus en 14 éditions

    « De toutes mes participations aux 24 Heures 4x4 de France, celle de l’année 2006 restera de loin la plus chargée en émotions grâce à notre victoire d’équipe obtenue non sans rebondissements et suspens ! Je serai donc très heureux de prendre le départ de la prochaine édition, porteur du n°1. Je sais d’expérience que rien n’est gagné d’avance et qu’il faut parfois se contenter d’une 2ème place comme en 2003, mauvaise place, mauvais souvenir de se faire ravir la 1ère !
    Tout nous pousse néanmoins à revenir sans cesse sur la grille de départ, trop d’adrénaline, 120 concurrents ! beau challenge ! Obligation pour chaque équipage de s’organiser différemment tant par le nombre de mécaniciens qui doivent tenir 24 heures, prêts à tout pour le ravitaillement, les dortoirs… Mais surtout la possibilité chaque année d’une nouvelle expérience d’équipe puisqu’il faut être 3 ou 4 pilotes, et que des opportunités s’offrent forcément entre ceux qui cherchent un pilote et ceux qui cherchent un volant. Une belle aventure humaine, heureuse ou plus malchanceuse qui procure trop d’émotions et de sensations pour pouvoir s’en passer !
    Cordialement, Michel Salvatore.»

Thierry Delli-Zotti

NOS 10 'VIEVX DV STADE'
  • 15 732 kilomètres parcourus en 14 éditions

    "Mon plus beau souvenir sera bien sûr une très belle deuxième place au général, alors que tous les meilleurs étaient venus là pour gagner. Mais à chaque édition, à chaque vendredi,
    veille de la grande messe, j’ai ce même frisson à la vue de tous ces stands vides, qui peu
    à peu se remplissent et s’animent d‘autos multicolores… Quelques poignées de mains aux vérifications techniques… ces regards croisés qui parlent du dernier Dakar, ou de la dernière course… toutes ces courses qui finalement rythment ma vie depuis maintenant plus de vingt ans.
    Depuis quinze ans, les 24h de Jean-Louis marquent la rentrée des classes… Merci à toi Jean-Louis et à toute ton équipe pour mettre sur pied une telle épreuve aux portes de Paris. Et que vive avec toujours autant de passion cet événement mécanique, humain et sportif qu’il m’a été possible de partager avec mes partenaires et mes proches…
    A vous tous, un grand bravo.
    Cordialement, Thierry Delli-Zotti.»

Thierry Michau

NOS 10 'VIEVX DV STADE'
  • 13 142 kilomètres parcourus en 14 éditions

    «Les premières 24h, j’étais pas super chaud, j’avais un peu peur de ruiner mon vieux 280GE, mais bon les copains m’ont poussé… donc nous voilà partis pour l’aventure ! Finalement en pleine nuit à Banost, dans la boue jusqu’au toit, nous n’étions plus tellement
    nombreux à tourner, mais assez fiers d’en faire partie.
    Les 24h c’est long, surtout avant, trouver une équipe de copains pour préparer la voiture,
    surtout pendant, surtout après rattraper les copains pour aider à tout remballer…
    Notre meilleur souvenir reste la 4ème place en 19… 52 ? Mais finalement on doit être un peu maso quand même, car malgré la poussière, la boue, la fatigue, les casses, les moustiques, et le choléra cette année on sera encore là !
    Amicalement, Thierry Michau.»


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