Yves Tartarin
vainqueur 1993 / 1995 / 1996 / 1998 14 422 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Mon meilleur souvenir toutes éditions confondues, certainement la première victoire dans des conditions de terrain extrêmement difficiles. Egalement, de très bon souvenirs avec cette chance d’avoir couru avec de grands pilotes et de grands messieurs comme Philippe Wambergue, José-Maria Servia et François Chatriot…
Le moins bon : un accident avec radiateur et face avant hors service, réparés par les mécanos de Toyota France en un temps record ! Ensuite, crevaison (3/4 d’heure pour changer la roue arrière gauche dans une montagne de boue, repartir et s’apercevoir que la roue avant droite était aussi à plat ! Le team manager pressant de rentrer au stand alors que le 4x4 était devenu incontrôlable, «ventousé au sol», en travers de la piste avec impossibilité de progresser. Constat amer : les 3 heures maximum de temps de conduite sont écoulées : abandon !
Les 24 heures 4x4, c’est avant tout une course d’équipe. Même «mauvais», vous pouvez gagner si vos équipiers sont bons ! C’est une épreuve que l’on vit avec tout le staff : team manager, mécanos et équipiers, contrairement aux rallyes-raids où l’on se sent parfois seul… Les proches, familles, amis, sponsors peuvent vibrer en direct sur le terrain. D’ailleurs, en parlant sponsors, j’étudie toutes propositions : 06 62 52 65 .. ... :)
C’est une superbe épreuve mixant technique et tactique de course. Le plus rapide n’est pas forcément le gagnant, le plus lent non plus… Les 24 heures 4x4 de France devenues mythiques (merci Loulou) permettent de côtoyer à la fois de grands pilotes, des amateurs, des personnalités du show-bizz, et tout cela dans une ambiance très conviviale. En fait,
c’est une grande famille de passionnés où se mêlent bonheur, plaisanteries, déceptions et humilité. Et… je serai là pour la 15ème édition !
Cordialement, Yves Tartarin.»
«Mon meilleur souvenir toutes éditions confondues, certainement la première victoire dans des conditions de terrain extrêmement difficiles. Egalement, de très bon souvenirs avec cette chance d’avoir couru avec de grands pilotes et de grands messieurs comme Philippe Wambergue, José-Maria Servia et François Chatriot…
Le moins bon : un accident avec radiateur et face avant hors service, réparés par les mécanos de Toyota France en un temps record ! Ensuite, crevaison (3/4 d’heure pour changer la roue arrière gauche dans une montagne de boue, repartir et s’apercevoir que la roue avant droite était aussi à plat ! Le team manager pressant de rentrer au stand alors que le 4x4 était devenu incontrôlable, «ventousé au sol», en travers de la piste avec impossibilité de progresser. Constat amer : les 3 heures maximum de temps de conduite sont écoulées : abandon !
Les 24 heures 4x4, c’est avant tout une course d’équipe. Même «mauvais», vous pouvez gagner si vos équipiers sont bons ! C’est une épreuve que l’on vit avec tout le staff : team manager, mécanos et équipiers, contrairement aux rallyes-raids où l’on se sent parfois seul… Les proches, familles, amis, sponsors peuvent vibrer en direct sur le terrain. D’ailleurs, en parlant sponsors, j’étudie toutes propositions : 06 62 52 65 .. ... :)
C’est une superbe épreuve mixant technique et tactique de course. Le plus rapide n’est pas forcément le gagnant, le plus lent non plus… Les 24 heures 4x4 de France devenues mythiques (merci Loulou) permettent de côtoyer à la fois de grands pilotes, des amateurs, des personnalités du show-bizz, et tout cela dans une ambiance très conviviale. En fait,
c’est une grande famille de passionnés où se mêlent bonheur, plaisanteries, déceptions et humilité. Et… je serai là pour la 15ème édition !
Cordialement, Yves Tartarin.»
Mario Guglielminetti
vainqueur 1999 13 085 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Mes meilleurs souvenirs font référence à l’équipe des pieds nickelés, débordante d’imagination pour le week-end des 24 heures : Jean-Luc Rety, Claude et Jojo, un super trio d’amis qui chaque année nous faisaient un show et tout cela dans la bonne humeur. C’est ce qui donnait un peu de fantaisie à la compétition !
Ma meilleure édition est bien sûr celle de 1999 que j’ai partagée avec Gérard Moncé et Mario Andrade. Nous avons gagné les 24 heures avec une 4L, deux roues motrices qui d’ailleurs est toujours sur les circuits d’endurance. Ma première participation aux 24 heures reste certainement le moins bon souvenir, le terrain était difficile à aborder mais grâce mon ami Jean-Louis Dronne, je ne me suis pas découragé et j’ai appris à appréhender le terrain en anticipant chaque difficulté.
Ce qui fait la force des 24 heures, c’est le circuit, c’est le plus grand, avec de grandes facilités pour doubler et surtout l’épreuve de nuit. C’est une très belle épreuve, elle réunit des véhicules engagés dans des catégories différentes ce qui permet une bataille très intéressante où tout peut arriver. La preuve, nous avons gagné avec une 4L/2 litres / 2 roues motrices !!
Aujourd’hui, cela fait 15 ans que je participe aux 24 heures et c’est toujours avec beaucoup de passion que je retrouve cette épreuve et ses participants. Elle demeure pour moi, l’évènement sportif de l’année, chargé de souvenirs…
Je serai présent sur la ligne de départ de la 15ème édition avec le même équipage de passionnés que l’an dernier.
A bientôt, Mario Guglielminetti.»
«Mes meilleurs souvenirs font référence à l’équipe des pieds nickelés, débordante d’imagination pour le week-end des 24 heures : Jean-Luc Rety, Claude et Jojo, un super trio d’amis qui chaque année nous faisaient un show et tout cela dans la bonne humeur. C’est ce qui donnait un peu de fantaisie à la compétition !
Ma meilleure édition est bien sûr celle de 1999 que j’ai partagée avec Gérard Moncé et Mario Andrade. Nous avons gagné les 24 heures avec une 4L, deux roues motrices qui d’ailleurs est toujours sur les circuits d’endurance. Ma première participation aux 24 heures reste certainement le moins bon souvenir, le terrain était difficile à aborder mais grâce mon ami Jean-Louis Dronne, je ne me suis pas découragé et j’ai appris à appréhender le terrain en anticipant chaque difficulté.
Ce qui fait la force des 24 heures, c’est le circuit, c’est le plus grand, avec de grandes facilités pour doubler et surtout l’épreuve de nuit. C’est une très belle épreuve, elle réunit des véhicules engagés dans des catégories différentes ce qui permet une bataille très intéressante où tout peut arriver. La preuve, nous avons gagné avec une 4L/2 litres / 2 roues motrices !!
Aujourd’hui, cela fait 15 ans que je participe aux 24 heures et c’est toujours avec beaucoup de passion que je retrouve cette épreuve et ses participants. Elle demeure pour moi, l’évènement sportif de l’année, chargé de souvenirs…
Je serai présent sur la ligne de départ de la 15ème édition avec le même équipage de passionnés que l’an dernier.
A bientôt, Mario Guglielminetti.»
Jean-Claude Chervier
vainqueur 2005 13 162 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Mon meilleur souvenir, bien sûr notre victoire en 2005 avec l’équipe de la SADEV, Benoît et Bertrand Vincendeau et Etienne Smulevici. Et je ne dois pas oublier ma rencontre en 1993 avec Jean-Louis Dronne et notre partenariat sans aucun problème pendant 13 années. Mon moins bon souvenir étant l’arrêt de ce partenariat…
Cette épreuve est unique, et l’ambiance est toujours la même depuis 14 ans. Je participe aussi avec ma berlinette ALPINE à des épreuves en rallye et circuit en VHC, mais l’ambiance «Terre» est incomparable.
Quand je présente les 24 H aux amis et sponsors, je leur parle toujours de convivialité, de sportivité et que 120 voitures au départ, soit dans la poussière ou dans la boue, quel spectacle !!!
Bien sûr je serai au départ pour la 15ème fois toujours avec l’équipe de la Sadev. Et je constate que parmi les 10 pilotes qui ont participé aux 14 dernières éditions, il y a je crois 4 vainqueurs, comme quoi dans cette discipline il faut persévérer pour réussir.
Amitiés, Jean-Claude Chervier.»
«Mon meilleur souvenir, bien sûr notre victoire en 2005 avec l’équipe de la SADEV, Benoît et Bertrand Vincendeau et Etienne Smulevici. Et je ne dois pas oublier ma rencontre en 1993 avec Jean-Louis Dronne et notre partenariat sans aucun problème pendant 13 années. Mon moins bon souvenir étant l’arrêt de ce partenariat…
Cette épreuve est unique, et l’ambiance est toujours la même depuis 14 ans. Je participe aussi avec ma berlinette ALPINE à des épreuves en rallye et circuit en VHC, mais l’ambiance «Terre» est incomparable.
Quand je présente les 24 H aux amis et sponsors, je leur parle toujours de convivialité, de sportivité et que 120 voitures au départ, soit dans la poussière ou dans la boue, quel spectacle !!!
Bien sûr je serai au départ pour la 15ème fois toujours avec l’équipe de la Sadev. Et je constate que parmi les 10 pilotes qui ont participé aux 14 dernières éditions, il y a je crois 4 vainqueurs, comme quoi dans cette discipline il faut persévérer pour réussir.
Amitiés, Jean-Claude Chervier.»
Jean-Jacques Deverly
12 934 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Mes meilleurs souvenirs… Il y en a deux. Forcément la première édition où, novice, je partageais le volant du second Range Rover officiel engagé par Land Rover France avec mon confrère Yvonnick Jambon et Henri Michel, le boss de Givenchy. Contre toute attente, nous nous sommes classés 15ème au général avec la furieuse envie de remettre ça ! Ensuite, il y a bien sûr la meilleure performance, à savoir une 7ème place scratch obtenue en 2005 avec le Fournier Team Toy sur un Rav4 T1B d’à peine 20 000 euros !
Chaque édition est pour moi une fête, que l’on finisse dans les dix ou pas du tout ! La force de l’épreuve : par définition son caractère unique, son ambiance et son plateau qui mêle une multitude de concurrents issus de différents horizons, des pros comme des amateurs.
Je définirais les 24 Heures 4x4 comme un moment magique pour qui aime le sport auto. Et qu’il faut vivre au moins une fois dans un baquet. Je serai sur la ligne départ de la 15ème édition, avec le FTT et de nouveau sur le Rav4.
A bientôt, Jean-Jacques Deverly.»
«Mes meilleurs souvenirs… Il y en a deux. Forcément la première édition où, novice, je partageais le volant du second Range Rover officiel engagé par Land Rover France avec mon confrère Yvonnick Jambon et Henri Michel, le boss de Givenchy. Contre toute attente, nous nous sommes classés 15ème au général avec la furieuse envie de remettre ça ! Ensuite, il y a bien sûr la meilleure performance, à savoir une 7ème place scratch obtenue en 2005 avec le Fournier Team Toy sur un Rav4 T1B d’à peine 20 000 euros !
Chaque édition est pour moi une fête, que l’on finisse dans les dix ou pas du tout ! La force de l’épreuve : par définition son caractère unique, son ambiance et son plateau qui mêle une multitude de concurrents issus de différents horizons, des pros comme des amateurs.
Je définirais les 24 Heures 4x4 comme un moment magique pour qui aime le sport auto. Et qu’il faut vivre au moins une fois dans un baquet. Je serai sur la ligne départ de la 15ème édition, avec le FTT et de nouveau sur le Rav4.
A bientôt, Jean-Jacques Deverly.»
Michel Salvatore
vainqueur 2006 10 776 kilomètres parcourus en 14 éditions
« De toutes mes participations aux 24 Heures 4x4 de France, celle de l’année 2006 restera de loin la plus chargée en émotions grâce à notre victoire d’équipe obtenue non sans rebondissements et suspens ! Je serai donc très heureux de prendre le départ de la prochaine édition, porteur du n°1. Je sais d’expérience que rien n’est gagné d’avance et qu’il faut parfois se contenter d’une 2ème place comme en 2003, mauvaise place, mauvais souvenir de se faire ravir la 1ère !
Tout nous pousse néanmoins à revenir sans cesse sur la grille de départ, trop d’adrénaline, 120 concurrents ! beau challenge ! Obligation pour chaque équipage de s’organiser différemment tant par le nombre de mécaniciens qui doivent tenir 24 heures, prêts à tout pour le ravitaillement, les dortoirs… Mais surtout la possibilité chaque année d’une nouvelle expérience d’équipe puisqu’il faut être 3 ou 4 pilotes, et que des opportunités s’offrent forcément entre ceux qui cherchent un pilote et ceux qui cherchent un volant. Une belle aventure humaine, heureuse ou plus malchanceuse qui procure trop d’émotions et de sensations pour pouvoir s’en passer !
Cordialement, Michel Salvatore.»
« De toutes mes participations aux 24 Heures 4x4 de France, celle de l’année 2006 restera de loin la plus chargée en émotions grâce à notre victoire d’équipe obtenue non sans rebondissements et suspens ! Je serai donc très heureux de prendre le départ de la prochaine édition, porteur du n°1. Je sais d’expérience que rien n’est gagné d’avance et qu’il faut parfois se contenter d’une 2ème place comme en 2003, mauvaise place, mauvais souvenir de se faire ravir la 1ère !
Tout nous pousse néanmoins à revenir sans cesse sur la grille de départ, trop d’adrénaline, 120 concurrents ! beau challenge ! Obligation pour chaque équipage de s’organiser différemment tant par le nombre de mécaniciens qui doivent tenir 24 heures, prêts à tout pour le ravitaillement, les dortoirs… Mais surtout la possibilité chaque année d’une nouvelle expérience d’équipe puisqu’il faut être 3 ou 4 pilotes, et que des opportunités s’offrent forcément entre ceux qui cherchent un pilote et ceux qui cherchent un volant. Une belle aventure humaine, heureuse ou plus malchanceuse qui procure trop d’émotions et de sensations pour pouvoir s’en passer !
Cordialement, Michel Salvatore.»
Thierry Delli-Zotti
15 732 kilomètres parcourus en 14 éditions
"Mon plus beau souvenir sera bien sûr une très belle deuxième place au général, alors que tous les meilleurs étaient venus là pour gagner. Mais à chaque édition, à chaque vendredi,
veille de la grande messe, j’ai ce même frisson à la vue de tous ces stands vides, qui peu
à peu se remplissent et s’animent d‘autos multicolores… Quelques poignées de mains aux vérifications techniques… ces regards croisés qui parlent du dernier Dakar, ou de la dernière course… toutes ces courses qui finalement rythment ma vie depuis maintenant plus de vingt ans.
Depuis quinze ans, les 24h de Jean-Louis marquent la rentrée des classes… Merci à toi Jean-Louis et à toute ton équipe pour mettre sur pied une telle épreuve aux portes de Paris. Et que vive avec toujours autant de passion cet événement mécanique, humain et sportif qu’il m’a été possible de partager avec mes partenaires et mes proches…
A vous tous, un grand bravo.
Cordialement, Thierry Delli-Zotti.»
"Mon plus beau souvenir sera bien sûr une très belle deuxième place au général, alors que tous les meilleurs étaient venus là pour gagner. Mais à chaque édition, à chaque vendredi,
veille de la grande messe, j’ai ce même frisson à la vue de tous ces stands vides, qui peu
à peu se remplissent et s’animent d‘autos multicolores… Quelques poignées de mains aux vérifications techniques… ces regards croisés qui parlent du dernier Dakar, ou de la dernière course… toutes ces courses qui finalement rythment ma vie depuis maintenant plus de vingt ans.
Depuis quinze ans, les 24h de Jean-Louis marquent la rentrée des classes… Merci à toi Jean-Louis et à toute ton équipe pour mettre sur pied une telle épreuve aux portes de Paris. Et que vive avec toujours autant de passion cet événement mécanique, humain et sportif qu’il m’a été possible de partager avec mes partenaires et mes proches…
A vous tous, un grand bravo.
Cordialement, Thierry Delli-Zotti.»
Thierry Michau
13 142 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Les premières 24h, j’étais pas super chaud, j’avais un peu peur de ruiner mon vieux 280GE, mais bon les copains m’ont poussé… donc nous voilà partis pour l’aventure ! Finalement en pleine nuit à Banost, dans la boue jusqu’au toit, nous n’étions plus tellement
nombreux à tourner, mais assez fiers d’en faire partie.
Les 24h c’est long, surtout avant, trouver une équipe de copains pour préparer la voiture,
surtout pendant, surtout après rattraper les copains pour aider à tout remballer…
Notre meilleur souvenir reste la 4ème place en 19… 52 ? Mais finalement on doit être un peu maso quand même, car malgré la poussière, la boue, la fatigue, les casses, les moustiques, et le choléra cette année on sera encore là !
Amicalement, Thierry Michau.»
«Les premières 24h, j’étais pas super chaud, j’avais un peu peur de ruiner mon vieux 280GE, mais bon les copains m’ont poussé… donc nous voilà partis pour l’aventure ! Finalement en pleine nuit à Banost, dans la boue jusqu’au toit, nous n’étions plus tellement
nombreux à tourner, mais assez fiers d’en faire partie.
Les 24h c’est long, surtout avant, trouver une équipe de copains pour préparer la voiture,
surtout pendant, surtout après rattraper les copains pour aider à tout remballer…
Notre meilleur souvenir reste la 4ème place en 19… 52 ? Mais finalement on doit être un peu maso quand même, car malgré la poussière, la boue, la fatigue, les casses, les moustiques, et le choléra cette année on sera encore là !
Amicalement, Thierry Michau.»
Gerard Monce
vainqueur 1999 13 327 kilomètres parcourus en 14 éditions
« Mon meilleur souvenir, sans hésitation : 1999, la victoire de la 4L, un grand moment
d’émotion… après 24H de stress dans une poussière et une chaleur inimaginable. Je dois reconnaître que cette victoire a modifié mon parcours sportif et a permis à Mario Andrade de trouver des moyens pour faire évoluer toute l’équipe.
Je garde deux mauvais souvenirs… en 2004, avec un tonneau par l’avant au 1er tour qualif… voiture détruite. On participe à la course avec une multitude de galères. Puis en 2006 : on a une petite chance d’être champion. Au classement de la 12ème heure, on est 3ème malgré plusieurs arrêts pour réparer l’avant de la voiture qui a «embrassé» les fesses d’un Range. A 3h de l’arrivée on est 2ème à 2 minutes de la tête de course et du titre quand le pont arrière perd ses dents…
Comme cette course est unique en France, elle suscite un engouement particulier pour un grand nombre de personnes qui ne disputent que cette course dans l’année. C’est bien grâce à eux que cet événement se différencie des autres courses. Il est indéniable que le nombre de participants, la longueur de la grille de départ, la possibilité pour toute personne qui a une licence et une tenue de pilote de pouvoir être au milieu de cet événement est le meilleur atout pour cette course.
Je serai bien au départ cette année avec Mario, Alexandre, Stéphane, et l’équipe Andradre Compétition au grand complet avec l’envie que le résultat de cette course ressemble à 1999.
Cordialement, Gérard Monce.»
« Mon meilleur souvenir, sans hésitation : 1999, la victoire de la 4L, un grand moment
d’émotion… après 24H de stress dans une poussière et une chaleur inimaginable. Je dois reconnaître que cette victoire a modifié mon parcours sportif et a permis à Mario Andrade de trouver des moyens pour faire évoluer toute l’équipe.
Je garde deux mauvais souvenirs… en 2004, avec un tonneau par l’avant au 1er tour qualif… voiture détruite. On participe à la course avec une multitude de galères. Puis en 2006 : on a une petite chance d’être champion. Au classement de la 12ème heure, on est 3ème malgré plusieurs arrêts pour réparer l’avant de la voiture qui a «embrassé» les fesses d’un Range. A 3h de l’arrivée on est 2ème à 2 minutes de la tête de course et du titre quand le pont arrière perd ses dents…
Comme cette course est unique en France, elle suscite un engouement particulier pour un grand nombre de personnes qui ne disputent que cette course dans l’année. C’est bien grâce à eux que cet événement se différencie des autres courses. Il est indéniable que le nombre de participants, la longueur de la grille de départ, la possibilité pour toute personne qui a une licence et une tenue de pilote de pouvoir être au milieu de cet événement est le meilleur atout pour cette course.
Je serai bien au départ cette année avec Mario, Alexandre, Stéphane, et l’équipe Andradre Compétition au grand complet avec l’envie que le résultat de cette course ressemble à 1999.
Cordialement, Gérard Monce.»
Roger Lévine
4 896 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Les 24 heures du Mans, une course mythique qui a bercé notre adolescence, et nous a fait rêver devant notre poste de tv… Alors quand on participe aux épreuves d’endurance TT et qu’un organisateur «tout fou» propose les «24 Heures Tout Terrain», on ne peut qu’y participer, et 24 heures, c’est de la vraie endurance ! Avec toute la gestion logistique de la course et son lot d’anecdotes : Comment oublier cette première édition dans la boue ? Combien de paires de chaussures retrouvées le lendemain ?... Cette autre fois où un nuage de poussière facétieux alla se promener sur l’autoroute, et la citerne d’arrosage qui s’est renversée, créant une piscine de 5000 litres sur la piste, sans oublier ma pirouette devant les caméras à 2 tours de l’arrivée !
Toujours est-il que cette épreuve est un formidable lieu de rencontre, de convivialité et de saine lutte sportive, un beau spectacle pour le public toujours nombreux et passionné. Le plaisir est toujours là et renouvelé tous les ans, je serai donc présent pour cette 15ème édition.
Amitiés sportives, Roger Lévine.»
«Les 24 heures du Mans, une course mythique qui a bercé notre adolescence, et nous a fait rêver devant notre poste de tv… Alors quand on participe aux épreuves d’endurance TT et qu’un organisateur «tout fou» propose les «24 Heures Tout Terrain», on ne peut qu’y participer, et 24 heures, c’est de la vraie endurance ! Avec toute la gestion logistique de la course et son lot d’anecdotes : Comment oublier cette première édition dans la boue ? Combien de paires de chaussures retrouvées le lendemain ?... Cette autre fois où un nuage de poussière facétieux alla se promener sur l’autoroute, et la citerne d’arrosage qui s’est renversée, créant une piscine de 5000 litres sur la piste, sans oublier ma pirouette devant les caméras à 2 tours de l’arrivée !
Toujours est-il que cette épreuve est un formidable lieu de rencontre, de convivialité et de saine lutte sportive, un beau spectacle pour le public toujours nombreux et passionné. Le plaisir est toujours là et renouvelé tous les ans, je serai donc présent pour cette 15ème édition.
Amitiés sportives, Roger Lévine.»
Jean-Pierre Cottret
vainqueur 1998 12 809 kilomètres parcourus en 14 éditions
«Mon meilleur souvenir, la première édition avec une place de 6ème à l’arrivée avec un véhicule de série et bien sûr ma victoire avec Toyota France ainsi que ma 3ème place avec mon ami Patrick Zaniroli, avec un véhicule de série également. Les 24 Heures, c’est comme le Dakar… Quand on y a goûté une fois, on ne peut plus s’en passer et on attend avec impatience la prochaine, on y pense, on la prépare… Mon plus mauvais souvenir, c’est la 14ème édition où nous n’avons couru qu’une heure !
De par sa proximité avec Paris situé à 30 km, les 24 Heures 4x4 nous permettent de faire des opérations VIP, ce qui est moins possible avec les courses en Province. Pendant plus de 10 ans, avec le «Team Paris La Défense», j’ai invité sous un chapiteau plus de 1000 personnes sur le week-end et j’ai également formé des gens comme Gilles Serinet, qui avec
son équipe, a continué à inviter 1000 personnes à chaque 24 Heures qui ont suivi. Ensuite, Olivier Bearzatto qui a été mon traiteur pendant 14 ans a pris le relais et fait de magnifiques opérations VIP.
J’ai formé plus de 20 pilotes sur ces dernières années, des amis, des connaissances qui n’avaient jamais couru et qui sont maintenant des « mordus » et s’engagent tous les ans.
Normalement, je courrai cette 15ème édition avec le team « Start Terre » avec qui je participe déjà depuis 3 ans, qui est une bonne équipe avec son team manager Pascal Kuhn qui se démène comme un beau diable pour pouvoir faire courir 3 voitures avec une opération VIP de 300/400 personnes. Et le virus a été dernièrement passé à Richard Gonzales de Sodicars (location de camions de course) qui maintenant ne voudrait pas
rater une édition… »
Sportivement, Jean-Pierre Cottret.»
«Mon meilleur souvenir, la première édition avec une place de 6ème à l’arrivée avec un véhicule de série et bien sûr ma victoire avec Toyota France ainsi que ma 3ème place avec mon ami Patrick Zaniroli, avec un véhicule de série également. Les 24 Heures, c’est comme le Dakar… Quand on y a goûté une fois, on ne peut plus s’en passer et on attend avec impatience la prochaine, on y pense, on la prépare… Mon plus mauvais souvenir, c’est la 14ème édition où nous n’avons couru qu’une heure !
De par sa proximité avec Paris situé à 30 km, les 24 Heures 4x4 nous permettent de faire des opérations VIP, ce qui est moins possible avec les courses en Province. Pendant plus de 10 ans, avec le «Team Paris La Défense», j’ai invité sous un chapiteau plus de 1000 personnes sur le week-end et j’ai également formé des gens comme Gilles Serinet, qui avec
son équipe, a continué à inviter 1000 personnes à chaque 24 Heures qui ont suivi. Ensuite, Olivier Bearzatto qui a été mon traiteur pendant 14 ans a pris le relais et fait de magnifiques opérations VIP.
J’ai formé plus de 20 pilotes sur ces dernières années, des amis, des connaissances qui n’avaient jamais couru et qui sont maintenant des « mordus » et s’engagent tous les ans.
Normalement, je courrai cette 15ème édition avec le team « Start Terre » avec qui je participe déjà depuis 3 ans, qui est une bonne équipe avec son team manager Pascal Kuhn qui se démène comme un beau diable pour pouvoir faire courir 3 voitures avec une opération VIP de 300/400 personnes. Et le virus a été dernièrement passé à Richard Gonzales de Sodicars (location de camions de course) qui maintenant ne voudrait pas
rater une édition… »
Sportivement, Jean-Pierre Cottret.»
14 éditions vécues des stands au bacquet : Pascal Machavoine
De la clé de douze au volant
"Mes premières 24H à Provins... La grande aventure avec une bande de copains Thierry Delli Zotti, Philippe Letang, Laurent Lepetit et l’incomparable Jean-Louis Raimondi... et bien sur PAPY (mon père). De la boue jusqu’aux genoux des galères mais les trois voitures engagées ont finies quel bonheur...
Pour la seconde édition ce fut la même et en couleur... Pluie, Boue mais nous avions notre rayon de soleil Estelle Hallyday faisait stand commun avec nous... elle avec Toyota France et nous avec notre UMM... les avantages d’avoir un Renard du désert dans l’équipe (Jean-Louis).
Puis ce fut l’arrivée sur Chevannes avec la MAGIE du TROCADERO, pour nous la magie pour les riverains... ; Je vous laisse imaginer 120 concurrents se posant en face de la tour EFFEIL pour décharger leurs véhicules de course. Et ce fut la première édition des 24 sans EAU et L’UMM alla une nouvelle fois au bout. Mais comme il se doit avec certaines galères ;Mr Papy éclate le couple conique du pont arrière aux essais donc il ne reste plus qu’une chose à faire... Philippe Létang possède un UMM civile donc je prends mes jambes à mon coup et je pars démonter la fameuse pièce pour la ramener « just in time » pour que la voiture puisse sortir à l’heure dite des stands. L’édition suivante se sera l’arbre de liaison entre la boîte et le transfert qui se sectionnera nette sur la ligne de départ... et bien nous allons jouer de la disqueuse et du poste à souder et sa repartira et sa finira... L’édition suivante fut de trop pour L’UMM et il ne vit pas la ligne d’arrivée...
Puis sur les éditions suivantes mon rôle à évoluer de la clef de douze au chrono et à la direction du TEAM pour finir en apothéose avec un TEAM BRETON qui s’inscrivait pour la première fois sur les 24 avec un Vitara 1.6 l qui à décroché la victoire de classe et la coupe de la meilleure remontée (avec nos excuses Mr Chevrier car à quelques places près elle été pour vous...).
Et à la fin de cette édition 2004 je pris « un grand coup de pied au c.. » de la part de Samuel (l’un des pilotes du team) qui m’amena à vaincre une certaine angoisse « du « moi » je ne pourrais pas faire ce qu’ils font les pilotes » Et je viens de vivre les deux dernières éditions comme pilote...
Mon meilleur Souvenir... ils sont au nombre de deux : que ce Fameux Team BRETON (L’ASMO) m’ai permis de rouler sur les 24 avec Papy et Laurent en 2005. Qu’à la fin de l’édition 2006 nous soyons sacrés Champion de France 4x4 de série avec l’équipage ASMOORPIST (Samuel ANNEE Stéphane PINARD Emmanuel PEULHATE (le quatrième pilote pour les 24) sur notre Vaillant Suzuki Jimny de 1.3 l de cylindré ( le plus petit véhicule engagé sur le championnat). Le ou les mauvais souvenirs ; ils ont restés sur place après la fin des éditions concernées...
Je ne sais pas de quoi sera faite l’édition 2007 pour moi... mais quoi qu’il en soit il n’y aura que de bons souvenirs…
Amitiés Sportives à tous (pilotes, mécano, team manager et tous les membres constituants les Team qui travaillent à l’arrière de Paddock) et rendez-vous le 15 et 16 septembre !"
"Mes premières 24H à Provins... La grande aventure avec une bande de copains Thierry Delli Zotti, Philippe Letang, Laurent Lepetit et l’incomparable Jean-Louis Raimondi... et bien sur PAPY (mon père). De la boue jusqu’aux genoux des galères mais les trois voitures engagées ont finies quel bonheur...
Pour la seconde édition ce fut la même et en couleur... Pluie, Boue mais nous avions notre rayon de soleil Estelle Hallyday faisait stand commun avec nous... elle avec Toyota France et nous avec notre UMM... les avantages d’avoir un Renard du désert dans l’équipe (Jean-Louis).
Puis ce fut l’arrivée sur Chevannes avec la MAGIE du TROCADERO, pour nous la magie pour les riverains... ; Je vous laisse imaginer 120 concurrents se posant en face de la tour EFFEIL pour décharger leurs véhicules de course. Et ce fut la première édition des 24 sans EAU et L’UMM alla une nouvelle fois au bout. Mais comme il se doit avec certaines galères ;Mr Papy éclate le couple conique du pont arrière aux essais donc il ne reste plus qu’une chose à faire... Philippe Létang possède un UMM civile donc je prends mes jambes à mon coup et je pars démonter la fameuse pièce pour la ramener « just in time » pour que la voiture puisse sortir à l’heure dite des stands. L’édition suivante se sera l’arbre de liaison entre la boîte et le transfert qui se sectionnera nette sur la ligne de départ... et bien nous allons jouer de la disqueuse et du poste à souder et sa repartira et sa finira... L’édition suivante fut de trop pour L’UMM et il ne vit pas la ligne d’arrivée...
Puis sur les éditions suivantes mon rôle à évoluer de la clef de douze au chrono et à la direction du TEAM pour finir en apothéose avec un TEAM BRETON qui s’inscrivait pour la première fois sur les 24 avec un Vitara 1.6 l qui à décroché la victoire de classe et la coupe de la meilleure remontée (avec nos excuses Mr Chevrier car à quelques places près elle été pour vous...).
Et à la fin de cette édition 2004 je pris « un grand coup de pied au c.. » de la part de Samuel (l’un des pilotes du team) qui m’amena à vaincre une certaine angoisse « du « moi » je ne pourrais pas faire ce qu’ils font les pilotes » Et je viens de vivre les deux dernières éditions comme pilote...
Mon meilleur Souvenir... ils sont au nombre de deux : que ce Fameux Team BRETON (L’ASMO) m’ai permis de rouler sur les 24 avec Papy et Laurent en 2005. Qu’à la fin de l’édition 2006 nous soyons sacrés Champion de France 4x4 de série avec l’équipage ASMOORPIST (Samuel ANNEE Stéphane PINARD Emmanuel PEULHATE (le quatrième pilote pour les 24) sur notre Vaillant Suzuki Jimny de 1.3 l de cylindré ( le plus petit véhicule engagé sur le championnat). Le ou les mauvais souvenirs ; ils ont restés sur place après la fin des éditions concernées...
Je ne sais pas de quoi sera faite l’édition 2007 pour moi... mais quoi qu’il en soit il n’y aura que de bons souvenirs…
Amitiés Sportives à tous (pilotes, mécano, team manager et tous les membres constituants les Team qui travaillent à l’arrière de Paddock) et rendez-vous le 15 et 16 septembre !"